Liberty
Un vin de liberté souffle sur la Barroche !
Une véritable mosaïque de personnalités, d’hommes et de femmes, à la façon des 13 cépages de Châteauneuf-du-Pape ; chacun au caractère singulier mais tous partageant cette passion pour le terroir.
Portraits hauts en couleurs, voici une sélection non exhaustive de personnages qui ont construit, modelé, élevé et inspiré le domaine à travers les siècles.
Personnage emblématique de la famille, c’est Alexandre qui fait l’acquisition des premières terres en 1703 et ancre le nom de la famille au village de Châteauneuf du Pape, transmettant le domaine de père en fils jusqu’à nos jours.
À la fin du 19ème siècle, l’arrière grand-père Eugène Gabriel parcourait les terres agricoles. Il les observait, les ressentait pour en apprécier les moindres caractéristiques avant de décider de planter de la vigne sur les plus dignes d’entre elles.
À cette époque, tout était savoir-faire et partage. Alors qu’il possédait deux pressoirs de vendange pour le domaine, il se rendait dans les propriétés voisines pour presser leur récolte pendant les vinifications.
Aujourd’hui un de ces pressoirs, témoin du temps passé, repose tranquillement dans le musée du Père Anselme, au cœur du village.
Souvent dans l’ombre, elles œuvrent sans cesse pour l’équilibre et la vie du domaine. Elles sont le sel de la terre, le ciment de la famille Barrot, virtuoses d’un art de vivre transmis de générations en générations.
C’est en pleine crise viticole, au début des années 70, que Christian, décide de reprendre le domaine familial alors que nombre de propriétés voisines se voient abandonnées au profit de l’industrie. Le vin, à cette époque, n’est plus qu’un produit de consommation courante, les grands crus du bordelais se vendent à la sauvette le dimanche sur le parvis de l’église et toute la France n’a d’yeux que pour les révolutions technologiques agro-industrielles.
Passionné par le terroir et la conduite de la vigne, il concentre tous ses efforts sur la culture de ses terres. Il commercialise son vin en vrac auprès des prestigieux négociants des Côtes du Rhône Septentrionales.
Parcelle par parcelle, année après année, Christian redonnera une véritable envergure au domaine.
Il embouteille une petite partie de sa production qu’il baptise « Lou Destré D’Antan » à la mémoire de son grand-père (« Le Pressoir d’Autrefois » en provençal).
Frère et sœur, taillés dans le roc et engagés dans le terroir, Julien et Laetitia incarnent ces nouveaux vignerons porteurs de valeurs. Ils sont arrivés sur le domaine familial au début des années 2000 et y dessinent depuis un avenir couleur Grenache.
Elle, l’ainée, apporte sa sensibilité féminine à un monde traditionnellement masculin. Laetitia est le fer de lance de la propriété, maillon indispensable pour les partenaires et acteurs essentiels au développement du site. Issue de la communication et du commerce à l’international, le monde est pour elle un village dont Châteauneuf-du-Pape est le centre.
Après une expérience de plus de dix ans dans de grands groupes internationaux, Laetitia répond à l’appel de ses racines et choisit de revenir dans ses vignes natales pour promouvoir l’histoire de sa famille et la richesse de son terroir et de ses vins.
Lui, le cadet, a le caractère trempé de ces vignerons qui s’investissent dans leur métier et leur appellation. Julien arrive sur le domaine en 2002, âgé d’à peine 22 ans, frais émoulu de sa formation en œnologie, diplôme d’école de commerce en poche. Soif infinie d’apprendre, il fait partie de ces générations « engagées » où curiosité et ouverture d’esprit complètent à merveille le respect du terroir et du savoir-faire transmis par leurs ainés.
Après plusieurs millésimes et un travail de sélection parcellaire minutieux, le domaine lui doit aujourd’hui ses différentes cuvées aux personnalités si singulières : Julien Barrot, Pure, Fiancée et Liberty.
Un vin de liberté souffle sur la Barroche !
Sa Signature, son cru
Inutile de résister
Quintessence d’un cépage rouge
Quintessence d’un cépage blanc